« La longue nuit: la colonie de Haute-Terre » de Pierre-Guy Laurier

Un coup de cœur à découvrir de toute urgence !

Laureline Roy

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La Longue Nuit est une série en quatre volets qui s’inscrit dans la lignée de romans post-apocalyptiques tel « Malevil » de Robert Merles.
Elle décrit la fin d’une civilisation, la nôtre, qui en quelques jours va sombrer dans le chaos et l’anarchie. Au cœur de ce monde incertain et glacial, plongé dans des ténèbres permanentes, un homme et une adolescente qu’il s’est donné pour mission de protéger, vont tout mettre en œuvre pour assurer leur survie. Le danger est omniprésent. Il faut se méfier de tout et de tous, éviter les mauvaises rencontres, se protéger, apprendre à se battre. Y parviendront-ils sans perdre leur humanité ?
Un roman qui oblige le lecteur à se poser des questions. Et vous, dans quel clan seriez-vous ?

Le deuxième volet « Les Filles du Rocher » paraîtra début novembre.

*

Quel plaisir que de plonger dans cette dystopie ! L’auteur nous immerge en quelques pages dans un monde post-apocalyptique…

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Comment écrire un polar suédois sans se fatiguer – Henrik Lange

La recette du succès !

22h05 rue des Dames

Le succès des romans des pays du froid n’est plus à démontrer. Les auteurs suédois comme Stieg Larsson, Ake Edwardson, Hening Mankell ou Camilla Läckberg ont trouvé leur place dans les étagères de toutes les libraires. Mais qu’est-ce qu’il fait leur succès ?

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10 pistes pour mieux supporter la critique

Stéphane ARNIER

« Hum, ça fait du bien là où ça fait mal…
– Tu es devenu masochiste ?
– Pas trop le choix : je suis auteur. »


À moins de n’écrire que pour soi-même et de ne jamais exposer nos textes aux regards des autres, nous autres auteurs avons une activité publique. Cela signifie qu’il faut s’attendre à avoir des retours sur les histoires que nous publions, et malheureusement certains de ces retours peuvent être moins enthousiastes que ceux escomptés. Oh, bien sûr, « la critique est utile ». Tout le monde sait ça. Cela ne l’empêche pas de faire mal.

Petit guide de survie à l’attention des auteurs qui souhaitent le rester.

Pourquoi la critique fait-elle mal ?

Il y a, je le pense, de profondes raisons culturelles et sociales. Combien de fois, dans la vraie vie, taisons-nous des reproches à des amis ou de la famille, afin d’éviter les conflits ? Oncle Roger…

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Comment fonctionne le monde du livre

A lire de toute urgence !

Mélanie De Coster

La polémique soulevée par la décision de Samantha Bailly, dont j’ai parlé dans mon dernier article, ne constitue finalement qu’un tout petit pan de ce qui se passe actuellement dans le monde du livre. Certaines remarques, lues ici et là, m’ont décidée à faire mon petit retour sur le sujet, du point de vue d’une autrice. Nous allons parler de constats, de faits… Et peut-être de pistes à suivre.

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1. Un auteur, ça doit manger aussi

Ça, c’est le constat numéro 1. Il m’est venu après avoir lu, dans les commentaires de certains articles de blogs ou de réseaux sociaux, que des gens s’offusquaient que les auteurs n’écrivent plus juste pour célébrer la gloire de l’imaginaire, mais aussi pour gagner de l’argent. Ce qui les transformait en vilains capitalistes.

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Soit.

Gagner de l’argent, ce serait donc mal. Et après tout, il y a peut-être du second degré dans ce…

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Là où les lumières se perdent

Auteur : David Joy ( États-Unis ) Biographie : David Joy est titulaire d’une licence d’anglais obtenue avec mention à la Western Carolina University, il y poursuit naturellement ses études avec un master spécialisé dans les métiers de l’écrit. Il a pour professeur Ron Rash qui l’accompagnera et l’encouragera dans son parcours d’écrivain. Après quelques … Lire la suite de Là où les lumières se perdent